Une étude de publiée dans le Journal of Neuropsychology révèle les effets indésirables d’une commotion cérébrale sur la qualité des relations interpersonnelles parent-enfant. Le jeune cerveau est particulièrement vulnérable aux chocs et en dans les mois suivant un traumatisme, un des premiers signes visibles de difficultés sociales chez le jeune enfant est la dégradation de sa relation avec ses parents. Les parents sont invités à être attentifs aux changements émotifs et comportementaux de leur enfant.
↧