Pour la première fois, des scientifiques de l’Université de Grenade (Espagne) et l’Ecole Andalouse de la Santé Publique analysent de quelle manière le fait de vivre une procédure d’expulsion hypothécaire peut avoir des conséquences sur la santé.
205 personnes, 59,5 % de femmes (122) et 40,5 % d’hommes (83), en processus d’expulsion ont participé à l’étude.
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