Depuis la crise financière de 2008, de nombreux efforts ont été faits pour diminuer l’opacité des marchés et améliorer le contrôle des risques. Une étude internationale à laquelle a participé l'Université libre de Bruxelles démontre cependant que la complexité des marchés financiers modernes reste un frein critique pour évaluer aujourd’hui avec précision les risques d’une nouvelle crise.
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