Une nouvelle étude sur la variation des accents au fil du temps a permis de conclure que les interactions sociales intenses au sein de milieux isolés n’avaient qu’une incidence limitée à cet égard. Fait surprenant, elle a également mis au jour d’importantes différences quant à la variabilité des accents d’une personne à une autre. Réalisée par Morgan Sonderegger, linguiste à l’Université McGill, et ses collègues Max Bane et Peter Graff, cette étude intitulée « The medium-term dynamics of accents on reality television » a fait l’objet d’un article publié dans la revue Language.
↧